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Plaquette produits

Depuis le 21 décembre 2009 le silicium le plus connu du grand public, le monomethylsilanetriol, a été retiré de la liste dérogatoire sur laquelle il figurait depuis plusieurs années en tant que complément alimentaire pour être catalogué « produit à usage cosmétique » (réglement ce n°1925/2006),
alors que ses capacités d’assimilation étaient proche de 70%.

Les silices d’origine végétales ou minérales ne sont pas particulièrement assimilables par l’organisme, nous y retrouvons en première place les silices 100% minérales sous forme de cristaux de quartz, et les silices végétales composées de colloïdes, particules semi-minérales en suspension dans le suc de certaines plantes.

La silice minérale métabolisée par le « vivant » (plantes, microplanctons etc...) transformée en acide orthosilicique -SIOH4- s’est imposée comme  alternative au monométhylsilanetriol. Il a été prouvé que l’organisme assimile plus facilement le silicium sous sa forme soluble d’acide orthosilicique. Même si la prêle contient près de 7% d’acide orthosilicique (rapidement transformé en SIO2), cela n’est en rien comparable à l’assimilation six à dix fois supérieure de l’acide orthosilicique sur les autres formes de silice.

C’est dans l’étude des diatomées -microplanctons qui datent des origines même de la vie, vivant dans les océans- que l’acide orthosilicique SIOH4 s’est révélé comme source très intéressante de silicium organique.

Ce sont ces diatomées qui furent mises en lumière par Loïc le Ribault et Norbert Duffaut, leur carapace de silice, appelée frustule, utilise le silicium sous sa forme dissoute, l’acide orthosilicique, jouant ainsi un rôle essentiel dans le transfert du carbone, véritable processus organique favorable à l’apparition et au maintien de la vie.